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Photographie | Géographie | Gravure | Phares | Aides à la navigation | Signalisation maritime | Phares -- France | Albums pour enfants | Peinture | Botanique | Balises | La Réunion | Phare du XXe siècle en France | Tamarins | Mer du Nord | Histoires drôles bretonnes | Fillettes | Jordic (1876 - 1915) | Catacombes | Fabaceae | ...
Marie aux sabots de bois se gage - 12. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bccccd-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-12

Marie aux sabots de bois se gage - 12

Marie aux Sabots de bois se gage - 12, Jordic (1876 - 1915) : ... aperçoit pendus et accrochés par leurs grandes oreilles. Ce matin, des acheteurs sont là. M. Poivre, tout en servant ses clientes, cause : -- Le haricot, mesdames, sera rare cette année, mais la pomme de terre abonde. -- Vraiment ! M. Poivre, dit la grosse bonne. L'épicier ficèle un paquet de biscuits et continue : Je recommande à Madame la Comtesse mon cacao, premier choix. Monsieur le marquis de Carabas a daigné en acheter un kilo... Mais... mais... ciel ! M. Poivre devient blanc, puis vert. C'est qu'il vient d'apercevoir, à la porte de sa boutique, une effrayante tête de tigre aux yeux luisants, à la mâ-...

Marie aux sabots de bois se gage - 8. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcc381-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-8

Marie aux sabots de bois se gage - 8

Marie aux Sabots de bois se gage - 8, Jordic (1876 - 1915) : applique un pansement fait d'une toile d'araignée, et qu'il entoure d'un chiffon. En route ! Mais Marie se méfie de Bob trop coureur ; elle attache Minet à la chaîne et porte le chien, tout attristé de ne pouvoir comme autrefois, agiter sa belle queue. La petite servante rentre au logis, où elle trouve Madame assoupie dans un grand fauteuil, et détache Minet qui, d'un bond, saute sur les genoux de sa maîtresse. Celle-ci ouvre les yeux et pousse un cri d'horreur. Quel est cet animal ridicule, à pèlerine soyeuse, avec des cuisses nues grelottantes ? C'est Minet, jadis si bel angora, maintenant ressemblant à un jouet de bazar à treize sous. "Oua ! oua !" fait Bob sollicitant une caresse et agitant son bout de queue écourtée. -- Vous êtes une petite sotte ! dit Mme de Bougon, et je ne vous garde pas une minute de plus à mon service ! Marie refait son paquet et, boitillant avec un seul sabot, rentre chez sa mère où une volée de gifles l'accueille. Heureusement le restaurateur, M. Tourne-sauce donne un banquet...

Marseille et ses ports en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc3f5-marseille-et-ses-ports-en-1877

Marseille et ses ports en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.185 ; manuel scolaire, édition de 1904 : MARSEILLE ET SES PORTS. - Marseille, le premier port de France, est une ville excessivement commerçante et industrielle de 491 200 habitants. Dans ses ports, que protègent de longues jetées, se rendent par milliers des vaisseaux venus de tous les points du globe. Elle fait un très important commerce avec l'Algérie et la Tunisie. Enfin, ses ateliers produisent une grande quantité d'objets de toute sorte ; ses seules savonneries donnent plus de 100 millions de kilogrammes de savon par an.

Mendole. Source : http://data.abuledu.org/URI/5051a503-mendole

Mendole

On rencontre les Mendoles au dessus de toutes les natures de fonds. Elles pénètrent souvent dans les ports où les adultes solitaires affectionnent les parois verticales des quais.

Mitaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fdbb11-mitaines

Mitaines

Plusieurs types de mitaines : Une mitaine (emploi plus souvent pluriel : des mitaines) est un gant dont les doigts ne sont pas fermés, comme s'ils avaient été coupés. Parfois même les doigts ne sont pas délimités et la mitaine ne couvre que la paume et le dessus de la main. Comme les gants, les mitaines peuvent monter plus ou moins haut sur le bras. La mitaine est généralement considérée comme un accessoire féminin, même si elle tend à se masculiniser. Elles peuvent se porter seules ou superposées sur un gant. Les mitaines présentent l'avantage de tenir les mains au chaud tout en préservant la sensibilité tactile de la pulpe des doigts.

Noisette l'écureuil - 20. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c0d71b-noisette-l-ecureuil-20

Noisette l'écureuil - 20

Noisette l'écureuil, 1903, par Beatrix Potter (1866-1943). The Tale of Squirrel Nutkin-20, Source : http://www.gutenberg.org/files/14872/14872-h/14872-h.htm : Le sixième et dernier matin, les écureuils portèrent un oeuf tout frais au hibou.

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b30e1b-panneau-de-presentation-de-l-eglise-de-l-eveque-isaie-a-jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash en Jordanie, 8 novembre 2014 : Église de l'évêque Isaïe, 558/559 après J.C. - 749 après J.C. Cette église, découverte en 1983, est l'une des vingt-trois églises d'époque byzantine actuellement connues à Gerasa. Construite "... au temps de l'évêque Isaïe", selon un plan à trois nefs séparées par des rangées de colonnes ioniques provenant d'édifices d'époque romaine, elle est surtout remarquable par ses riches pavements de mosaïque. Ces derniers ont souffert des crises iconoclastes du VIIIe siècle et la plupart des figures animales et humaines ont été détruites. À l'ouest, un atrium (cour entourée de portiques, non fouillée) précédait les trois entrées de la façade principale du monument. Tardivement, ces portes ont été murées, l'entrée principale de l'église étant reportée sur sa face sud où existait une autre cour à portiques. L'ambon et le chancel, partiellement conservés au moment des fouilles, n'ont pas été restaurés. Le bâtiment était en travaux (réparations) lorsqu'il fut détruit par le séisme de 749 ap. J.C. Tout porte donc à croire que cet édifice, comme la plupart des églises de Gerasa, était encore en usage par des membres de la communauté chrétienne à la fin de l'époque omeyyade.

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Phare de l'île de Groix. Source : http://data.abuledu.org/URI/54324964-phare-de-l-ile-de-groix

Phare de l'île de Groix

Le phare de la pointe des chats, île de Groix dans le Morbihan. Construit vers 1897 sur une ancienne batterie de défense, il fut mis en service le 15 octobre 1898. On jugea indispensable la construction de cet édifice de 15,22 m (17,92 m au-dessus du niveau de la mer) en raison des nombreux navires qui faisaient naufrage sur la longue base rocheuse des Chats (appellation venant du surnom donné à ces récifs par les groisillons de l'époque), s'étendant sur plus d'un kilomètre. Chaque nuit, il avertit donc les marins en direction ou en partance de Lorient de l'important danger que représente cette côte très découpée, par 1 éclat rouge toutes les 5 secondes d'une portée d'environ 19 milles (soit 35 km). Automatisé, habité mais non gardienné, il ne se visite pas. La pointe où il se situe constitue une réserve naturelle géologique protégée. On y trouve plusieurs types de minéraux (grenats, micaschistes, glaucophanes, épidotes...). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_pointe_des_Chats

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590a32-phare-du-cap-gris-nez-

Phare du Cap-Gris-Nez en mer du Nord

Le phare et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS). Le phare du cap Gris-Nez éclaire le Pas-de-Calais. Le phare actuel fut mis en service en 1957. C'est une construction en pierres apparentes se trouvant dans le site classé (1987) des deux caps de la côte d'Opale (cap Blanc-Nez et cap Gris-Nez). À son pied se trouve le CROSS Gris Nez. Le premier phare fut allumé en 1837 et rehaussé en 1861 ; l'électrification de celui-ci se fit en 1869. Détruit par les Allemands pendant l'été 1944, la tour fut reconstruite en 1952. Les optiques flottent dans un bain de mercure. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Hauteur : 31 m - élévation : 72 m - Portée : 29 miles marins. Feux : 1 éclat blanc toutes les 5 secondes. Optique : verre taillé à 2 panneaux, focale 0.375 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_cap_Gris-Nez

Phare du Hourdel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53592f23-phare-du-hourdel

Phare du Hourdel en Mer du Nord

Le phare du Hourdel est un phare situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, il est bâti sur le côté sud de la Baie de Somme, en bout de la pointe du Hourdel. Le premier feu date de 1840. En 1852, ce feu de port fixe est monté sur une potence de bois de 10 m. En 1905, un nouvel appareil est monté sur une potence métallique et cabane en tôle de 10,20 m de hauteur. Il est détruit en 1944. En 1948, une tour cylindrique de 18 m en béton armé et accolée à une chambre de service est construite. C'est un feu blanc et vert à 3 occultations toutes les 12 secondes. Hauteur : 18m - Elévation : 25 m - Feux : blanc et vert. Optique : directionnel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Hourdel

Pièce canadienne avec rameau d'érable. Source : http://data.abuledu.org/URI/51157023-piece-canadienne-avec-rameau-d-erable

Pièce canadienne avec rameau d'érable

Monnaie canadienne en laiton, Diamètre : 19,11mm ; Axe des coins : 6h. Poids : 3,12g. Tranche : lisse ; Titulature avers : GEORGIVS VI D : G : REX ET IND : IMP :. Description avers : Tête de George VI à gauche ; initiales des graveurs sous le buste. Titulature revers : CANADA / 1937 / K.G / 1 CENT ; Description revers : Rameau d’érable. Entre 1876 et 1901, toutes les pièces de monnaie canadienne portaient sur leur design une ou plusieurs feuilles d’érable sous forme de couronne. Aujourd’hui, seules les pièces de 5 cents conservent ce symbole reconnu internationalement. D’ailleurs, depuis 1937, le revers de la pièce de 1 cent canadien, dessiné par G.E. Kruger-Gray (K.G.), n’a presque pas changé. À partir de 1979, la Monnaie royale canadienne frappe la Feuille d'érable en or, la pièce d'or officielle du Canada.

Pont tournant à Cette. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dcd83-pont-tournant-a-cette

Pont tournant à Cette

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.202 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PONT TOURNANT SUR UN CANAL A CETTE. - Les canaux ne sont pas toujours assez profondément creusés pour que les bateaux puissent passer sous les arches des ponts. - Afin que les bateaux ne soient pas arrêtés au passage, on a inventé les ponts mobiles, qui s'ouvrent par la moitié ou tournent tout entiers sur eux-mêmes. - Cette, qui par son canal du Midi communique avec l'Océan, est, après Marseille, notre port de commerce le plus important de la Méditerranée. Elle fait un grand commerce de vins et eaux-de-vie et compte 33 200 habitants.

Porte et fenêtre à imposte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b646ec-porte-et-fenetre-a-imposte

Porte et fenêtre à imposte

Porte et fenêtre à imposte. Une imposte est, par extension au vocaburaire de maçonnerie, la partie supérieure indépendante fixe ou ouvrante d'une porte (extérieure tout comme intérieure) ou d'une fenêtre. Elle permet de laisser passer de la lumière. Quand elle est ouvrante et vitrée, elle est souvent appelée « vasistas ».

Rosé des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d6269-rose-des-pres

Rosé des prés

Rosé des prés (Agaricus campestris), près de Paris, le 30 août 2005. Au XIXe siècle, il était aussi appelé Souris-rose. Le chapeau est blanc, parfois faiblement jaunissant et recouvert de petites écailles, ou soyeux à fibres rayonnantes. Il mesure 5 à 10 cm de diamètre. D'abord de forme hémisphérique, il s'aplatit à maturité. La chair blanche devient légèrement rougeâtre en cas de meurtrissure. Le goût est doux. Les lames, d'abord roses, puis rouge-brun, deviennent brun foncé à maturité. Les spores sont elles aussi de teinte brun foncé. Le pied qui ne dépasse pas 7 cm de haut est blanc et porte un anneau mince inconstant. On le trouve dans les champs et pâturages, les prés (jamais dans les bois) et les jardins, après la pluie à partir de la fin de l'été et pendant tout l'automne dans le monde entier. Il est largement ramassé et mangé, même par des personnes inexpérimentées. Ce champignon n'est pas cultivé commercialement en raison de sa maturation rapide et de sa courte durée de vie. Il peut être consommé sauté ou frit, en sauce, ou même cru dans les salades. Par sa saveur et sa texture, ce champignon est presque entièrement identique au champignon de Paris (Agaricus bisporus). Il est important de bien le laver pour le débarrasser de tout le sable et des petites larves blanches qui creusent des tunnels dans le pied et le chapeau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Agaricus_campestris.

Tamarin des hauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/521f9792-tamarin-des-hauts

Tamarin des hauts

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à La Réunion, vieil arbre dans les pâturages de la Plaine des Cafres au mois de septembre. C'est une espèce d'arbre de la famille des Fabaceae, endémique de l'île de La Réunion. Il s'y développe entre 1 200 et 2 200 m d'altitude et peut constituer l'essence dominante de forêts appelés “tamarinaies”. Son bois est utilisé en ameublement et en ébénisterie. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel, il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tamarin des Hauts renversé. Source : http://data.abuledu.org/URI/521fa07d-tamarin-des-hauts-renverse

Tamarin des Hauts renversé

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) renversé par le vent mais survivant au Fond de la Rivière de l'Est, La Réunion. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tennis à deux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1bada-tennis-a-deux

Tennis à deux

Clone de "Tennis for Two", développé en 1958 sur un ordinateur relié à un oscilloscope. Une barre horizontale représente le sol (ou la table de tennis de table), tandis qu'une petite barre verticale représente le filet. Un point symbolise la balle. Les deux joueurs agissent sur celle-ci au moyen d'un objet bricolé pour l'occasion comportant un bouton pour effectuer une frappe et une molette pour régler l'angle de frappe, peut-être le tout premier paddle. Il est notamment le précurseur de Pong, le premier jeu vidéo populaire. Bien que les deux jeux soient des jeux de tennis, Tennis for Two se concentre sur la gestion de la balle, alors que le joueur contrôle la raquette dans Pong. Il a été créé par William Higinbotham (1910-1994) pour distraire les visiteurs durant des portes ouvertes au laboratoire national de Brookhaven. Après deux ans d'exposition, la machine a été démantelée. Le jeu était géré par un petit calculateur analogique constitué de dix amplificateurs opérationnels, à l'époque des tubes électroniques, ainsi que de quelques résistances, condensateurs et relais. L'affichage est réalisé par un oscilloscope à tube cathodique, et pour générer des lignes et une balle nettes, il est nécessaire de synchroniser précisément les signaux en fonction du temps, à cet effet, et seulement à cet endroit du système, des transistors sont utilisés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tennis_for_Two.

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Tonnellerie au XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5d7b-tonnellerie-au-xvieme-siecle

Tonnellerie au XVIème siècle

Tonnellerie au XVIème siècle. La diffusion du tonneau comme récipient se fait tout au long du Moyen Âge, du nord au sud de l'Europe, par le biais des rivières, des fleuves, des mers et des océans, des ports, des routes, des foires, des marchés régionaux ou internationaux (Foires de Champagne). Il accompagne l'essor des premières grandes villes marchandes italiennes, flamandes, allemandes (La Hanse), anglaises (Bristol) ou françaises (La Rochelle, Bordeaux, Nantes), puis se diffuse à d'autres continents, surtout à partir des Grandes découvertes et de l'accélération de la mondialisation, des conquêtes et du commerce transatlantique.

Torches de pin japonaises. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a9334-torches-de-pin-japonaises

Torches de pin japonaises

Torches de pin japonaises utilisées pour le rituel du feu pendant la première quinzaine de mars. Otaimatsu : chaque nuit durant la cérémonie, dix croyants (onze le 12 mars) sont choisis pour porter sur leurs épaules de larges torches de pin mesurant jusqu’à huit mètres de haut et pensant 80 kilogrammes. Les porteurs de torches courent le long du balcon du premier étage du Nigatsu-dō, projetant une multitude d’étincelles sur la foule en contrebas. Toute personne touchée par les étincelles est, croit-on, protégée du mauvais sort. Durant le rituel, les moines chantent, pratiquent le Pradaksina (circumambulation) et brandissent des sabres pour éloigner les mauvais esprits. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shuni-e

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.